
Selon l’Organisation Internationale du Travail, 218 millions d’enfants âgés de 5 à 17 ans sont « occupés économiquement » et travaillent au moins une heure au cours de la semaine.
Dans de nombreux pays en effet, les enfants aident leurs parents au travail. Une activité qui, si cette dernière reste occasionnelle, doit être distinguée du travail des enfants et de l’exploitation infantile dont souffrent également des millions d’enfants exposés aux violences et victimes de violations de leurs droits.
travailler dans des conditions pénibles comme le port de charges lourdes ou l’utilisation de matières dangereuses et menaçant « la santé et la sécurité physique ou morale de l’enfant ».
Toutes ces réglementations ont été mises en place afin de protéger les enfants et éviter que ces derniers ne quittent les bancs de l’école trop tôt. Cependant, ces limites ne sont pas toujours respectées, et encore moins lorsqu’il s’agit des pires formes de travail des enfants.
Les « pires formes de travail des enfants » ont été définies par la convention n°182 de l’Organisation Internationale du Travail et impliquen