
qui arrivent à remarquer les faiblesses et les folies de leurs contemporains sans tomber dans les pièges. Il importe de ce fait de souligner qu’il n’est donné qu’à un très petit nombre, par leur humour délicat, par leur état de grâce, par leur appartenance à ce bel milieu de chercheurs. Je salue ici, avec ma plus vive sympathie, les plus grands maitres en ce genre. Vous m’avez ravie et instruit